Fondation Foch

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mains d'un chirurgien en train d'opérer

Développer les techniques chirurgicales les plus innovantes

mains d'un chirurgien en train d'opérer

La chirurgie robotique, une révolution au bloc opératoire

Plus qu’une amélioration technique pour réduire les incisions, la chirurgie robotique est un nouveau mode de traitement. Le bras du robot permet d’aller au plus près de l’organe ciblé, des instruments miniaturisés permettent d’effectuer des interventions d’une précision inédite : les incisions sont réduites, les organes voisins sont mieux préservés, l’agression chirurgicale est minimisée. Les bénéfices sont nombreux pour le patient : réduction du saignement préopératoire, diminution de la douleur post opératoire, préservation des fonctions contiguës, réduction de la durée d’hospitalisation et reprise d’activité plus rapide.

Un enjeu de développement stratégique

Le potentiel de développement est considérable, de nouveaux progrès technologiques permettant de lever les freins rencontrés dans un premier temps. D’ici 10 à 15 ans, la chirurgie robotique devrait concerner 60 % à 80 % des interventions. L’Hôpital Foch est l’un des premiers établissements franciliens à avoir utilisé un robot chirurgical DA VINCI, aujourd’hui l’unique modèle sur le marché. L’hôpital compte les spécialités pour lesquelles les indications de recours à la chirurgie robotique explosent. Il constitue un terrain idéal pour faire progresser la recherche : développer le recours à la chirurgie robotique et initier une collaboration avec de nouveaux partenaires pour concevoir prochainement le premier robot français, adapté à de nouvelles interventions et moins coûteux que le système DA VINCI.

Le défi de la formation

La formation des futurs chirurgiens est un enjeu clé, notamment dans le domaine de l’urologie où la robotique s’est imposée en première ligne. L’équipe de l’Hôpital Foch entend répondre à cet enjeu auprès des étudiants de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.

Les enjeux du projets

  • Assurer la formation des jeunes chirurgiens.
  • Étendre le recours à cette technique moins invasive à 500 patients supplémentaires chaque année.
  • Développer la recherche : adapter cet outil à de nouvelles interventions et développer le premier robot français.
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